Restauration des étangs et marais des salins de Camargue dans le cadre du LIFE + MC SALT (LIFE 10 NAT/IT/000256)

Page mise à jour le 09/02/2018
Créée le 05/10/2016
Créée le 05/10/2016
L'opération
Type d'ingénierie écologique | Restauration et réhabilitation |
Type de génie écologique |
Non renseigné |
Enjeux (eau, biodiversité, climat) | Continuité écologique Bon état des habitats Conservation d’espèces patrimoniales Elévation du niveau de la mer Ressource en eau (quantité) |
Début des travaux Fin des travaux |
novembre 2011 novembre 2016 |
Surface concernée par les travaux | 5400.00 ha |
La zone humide dans la partie restaurée
Type de milieu (Ramsar) | J - Lagunes côtières saumâtres/salées |
Type de milieu (SDAGE) | Marais et lagunes côtiers |
Type hydrogéomorphologique | Restauration des étangs et marais des salins de Camargue dans le cadre du LIFE + MC SALT (LIFE 10 NAT/IT/000256) |
Contexte réglementaire | Parc Naturel Régional Site du CELRL Site inscrit Site classé |
Autres | Espace boisé classé (montilles et pinèdes de Beauduc et du Platelet) |
Loi |
Loi littoral |
Références au titre des directives européennes
Rattachement à une Masse d'eau |
Non concerné |
Référence du site Natura 2000 |
FR9301592
FR9310019
|
Localisation
Pays | France |
Bassins |
Rhône-Méditerranée |
Communes(s) |
ARLES (13004) SAINTES-MARIES-DE-LA-MER (13096) |
Les objectifs du maître d'ouvrage
Restaurer l’écoulement gravitaire au sein de l’hydrosystème des anciens salins
Restaurer les habitats d’intérêt communautaire et leur biodiversité
Favoriser la reproduction des oiseaux d’eau coloniaux
Valoriser le site pour le public
Le milieu et les pressions
La restauration des étangs et marais des salins de Camargue au sein du Parc naturel régional de Camargue fait l’objet d’un programme européen Life + MC-Salt, pour la conservation et la gestion environnementale des marais salants et des lagunes côtières en Méditerranée. Sur 5 sites concernant 10 périmètres Natura 2000 (France, Italie et Bulgarie), les objectifs sont de maintenir ou rétablir, dans un état de conservation satisfaisant, les habitats et les espèces d’oiseaux.
Sur le site des étangs et marais des salins de Camargue, le Conservatoire du littoral et ses co-gestionnaires cherchent à recréer des conditions favorables à l’évolution naturelle des écosystèmes pour une restauration durable des habitats d’intérêt communautaire. Les actions ciblent principalement les lagunes côtières, les fourrés halophiles méditerranéens (sansouïres), les végétations à salicornes annuelles, les laro-limicoles coloniaux et le flamant rose.
Le site couvre environ 6500 ha, dont 5400 ha étaient auparavant exploités pour la production de sel. Il a été cédé au Conservatoire du littoral (Cdl) par la Compagnie des Salins du Midi entre 2008 et 2012. Le site jouxte l’étang du Vaccarès au nord, également propriété du Cdl, et constitue avec ce dernier et les Espaces naturels sensibles du Département des Bouches-du-Rhône, un ensemble protégé unique en France par sa taille (20 000 ha) et sa renommée.
Afin de développer l’activité salicole, de nombreux aménagements (digues, stations de pompage, ouvrages hydrauliques) avaient été réalisés à partir des années 60 pour canaliser et acheminer artificiellement l’eau. Aujourd’hui, les stations de pompage sont démantelées et les ouvrages hydrauliques se sont dégradés (rupture de digues, envasement de canaux), les rendant inadaptés aux écoulements hydrauliques (sous-dimensionnement, digues faisant obstacle aux écoulements, etc) et à l’orientation de renaturation souhaitée par le Cdl. Sur certains secteurs, ces ouvrages ne permettent plus de maîtriser les apports d’eau estivaux et limitent les possibilités de restauration des sansouires. Les échanges hydrauliques avec l’hydrosystème Vaccarès ont été bloqués par endiguement depuis les années 60 et le processus naturel de formation de nouveaux milieux lagunaires et d’îlots utilisés pour la nidification par les oiseaux coloniaux est interrompu, tandis qu’une érosion généralisée intervient sur les îlots subsistants.
D’autre part, sur le secteur de Beauduc, la forte fréquentation (activités de loisir, tourisme) génère une importante circulation de véhicules à moteurs, fragilisant les dunes et empêchant la reproduction des colonies de sternes naines sur les plages.
Les opportunités d'intervention
Des études préliminaires, pour comprendre le fonctionnement hydraulique des anciens salins et établir un inventaire des habitats et des espèces, ont permis d’identifier les enjeux et définir les objectifs du projet LIFE+MC-Salt. En complémentarité, d’autres études préalables ont été réalisées entre 2012 et 2014 pour définir les travaux de restauration à réaliser dans le cadre du programme LIFE.
Un schéma global des nouveaux axes de circulation des eaux a été défini. Pour le valider et le rendre opérationnel, la Tour du Valat a réalisé les Modèles Numériques de Terrain (MNT) de 4 lagunes afin d’estimer leurs volumes en fonction des niveaux d’eau. Une modélisation hydrodynamique bidimensionnelle a ensuite été développée en prenant en compte les effets du vent sur le basculement des plans d’eau. Ce travail a permis de définir et dimensionner plusieurs projets d’ouvrages hydrauliques.
Le potentiel de restauration des fourrés halophiles à salicornes pérennes et des végétations à salicornes annuelles a été évalué en s’appuyant sur des données topographiques, historiques, à partir de cartes et photos aériennes anciennes, sur les caractéristiques pédologiques, les durées et hauteurs d’inondation et les salinités constatées avant restauration. Les cartes établies sur la base de cette évaluation laissent présager la possibilité à long terme, de restaurer plus de 700 ha de sansouires pérennes et 330 ha de végétations à salicornes annuelles. Pour atteindre une partie de cet objectif à court terme, des niveaux d’eau mensuels ont été définis sur plusieurs secteurs pouvant être maîtrisés hydrauliquement.
Pour accueillir la reproduction des oiseaux coloniaux, une étude préalable a été conduite afin de créer des îlots artificiels. Les emplacements potentiels ont été évalués en s’appuyant sur une analyse multi-critères intégrant la protection contre les prédateurs terrestres et le dérangement humain, l’exposition au phénomène d’érosion, la faisabilité de réalisation des travaux et la compatibilité avec d’autres enjeux de conservation. Les résultats de cette étude ont permis de définir deux projets d’aménagement d’îlots, l’un pour les petits charadriiformes coloniaux (sternes, mouettes, Goéland railleur, Avocette élégante), l’autre pour les Flamants roses.
Les actions de conservation et de restauration (travaux hydrauliques, aménagements d’îlots) ont été menées entre 2014 et début 2016 sous maîtrise d’ouvrage du PNR de Camargue.
Les travaux et aménagements
A- Travaux d’aménagements et de restauration hydraulique.
De nombreux travaux hydrauliques ont été réalisés, parmi lesquels : la restauration d’un ouvrage hydraulique entre les anciens salins et l’hydrosystème Vaccarès, la restauration d’un pertuis entre les étangs du Galabert et l’étang du Fangassier, la création d’un ouvrage hydraulique entre les étangs du Galabert et l’ancien partènement de pourtour Rascaillan, le curage de chenaux et l’aménagement d’un ouvrage d'écoulement entre les étangs de Beauduc et du Galabert. Enfin, sur le canal de la Vignole, des travaux de renforcement de berges ont eu lieu, poursuivis par la reprise des berges d’arrivée du canal de la Vignole et la pose de martelières.
B- Travaux de gestion de la fréquentation touristique.
Depuis 2013 la fréquentation des plages de Beauduc fait l’objet d’un aménagement.
Sur la plage de la Comtesse (plage Nord), deux zones spécifiques ont été définies comme étant prioritaires pour les écoles de kitesurf autorisées. La circulation et le stationnement des véhicules à moteur y ont été interdits. Seuls les telliniers professionnels et les professionnels des écoles de kitesurf ont été autorisés à circuler et stationner sur cette zone. Une signalétique, une chaine puis une barrière de type DFCI ont été installées à l’entrée sud de la plage de la Comtesse au niveau d’un gabarit en rochers.
La pointe des Sablons, quant à elle, est interdite aux véhicules à moteurs depuis trois ans. Seuls les telliniers professionnels justifiant de leur activité ont un accès autorisé avec leur véhicule. En décembre 2013, un Arrêté Préfectoral de Protection de Biotope (APPB) a été mis en place sur cette partie de la plage et permet une protection plus stricte de la nature : l’accès à pied, à vélo ou à cheval est autorisé pour la journée (camping et bivouac sont interdits), les feux ne sont pas tolérés et les chiens doivent être tenus en laisse.
Cette réglementation concernant la circulation et le stationnement des véhicules a également eu comme effet positif de limiter fortement l’utilisation de la plage pour l’organisation de fêtes ou de raves parties.
Enfin un enclos de protection de 5 ha, visant à favoriser la reproduction des sternes naines, a été mis en place sur la pointe de Beauduc dès 2013.
C- Création d’ilots de nidification pour les oiseaux d’eau.
Un îlot de nidification de 250 m² a été construit dans l’ancien salin de la Vignole en décembre 2014 pour optimiser la reproduction de nouvelles colonies de laro-limicoles.
Dans l’étang du Fangassier, un nouvel îlot de 5 000 m², spécifique à l’accueil des flamants roses, a été construit à l’automne 2015, afin de remplacer celui construit dans les années 1970 devenu moins accueillant en raison des difficultés de gestion des niveaux d’eau. Sa configuration est en effet plus favorable au maintien de niveaux d’eau suffisants sur sa périphérie pour préserver les couvées des prédateurs terrestres. Enfin, une plateforme pour la reproduction des sternes pierregarins a été mise en place dans l’étang du Galabert au printemps 2016.
La démarche réglementaire
Non renseigné
La gestion
La gestion du site associe le Parc naturel régional de Camargue (gestionnaire coordinateur) en partenariat avec la Tour du Valat (institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes) et la Société Nationale de Protection de la Nature (SNPN, gestionnaire de la Réserve Naturelle Nationale de Camargue).
Depuis 2012, un plan de gestion simplifié permet d’assurer la gestion du site de façon transitoire, dans l’attente de l’achèvement du processus d’acquisition par le Conservatoire du littoral.
Une équipe d’éco-gardes est mobilisée quotidiennement en été pour sensibiliser les acteurs et les usagers du littoral. Ils réalisent des enquêtes de suivi des usages, participent à la protection de la faune et de la flore et interviennent sur le terrain avec des travaux de piquetage et de mise en place de signalétique.
Le suivi
Le suivi de la reproduction des oiseaux coloniaux a été initié sur le site à partir des années 50 par la Tour du Valat et se poursuit actuellement, avec la collaboration des Amis des marais du Vigueirat pour le suivi des sternes naines nichant sur les plages et celle du Parc de Camargue. Ces suivis sont réalisés tous les ans et pour les laro-limicoles, ils s’appuient sur un protocole commun mis en œuvre sur l’ensemble du pourtour méditerranéen français.
Le suivi de la macrofaune benthique a été mis en place en 2010 et renouvelé en 2015 et 2016. 15 stations réparties dans 6 lagunes ont été suivies en 2016. Le suivi de la végétation aquatique (phanérogames et macro-algues) a été mis en place en 2010 sur 82 stations réparties sur l’ensemble des lagunes ; il a été renouvelé en 2015 et 2016 et un suivi partiel ciblant 4 lagunes a également été effectué en 2013. Ces deux suivis suivent les protocoles définis pour les milieux lagunaires dans le cadre de la mise en oeuvre de la Directive Cadre sur l’Eau.
Pour les sansouires et les végétations à salicornes annuelles, une cartographie associant observations sur le terrain et interprétation de photos aériennes a été réalisée en 2011 sur les anciens partènements salicoles ciblés pour la répartition de ces habitats. La cartographie a été renouvelée en 2015.
Le bilan et les perspectives
Par ces travaux, les co-gestionnaires et le Cdl, en lien avec les communes d’Arles et des Saintes-Maries-de-la-Mer œuvrent ensemble à la restauration et la préservation de la richesse écologique de ces écosystèmes littoraux.
Les suivis post-travaux font ressortir les résultats suivants :
Le site retrouve progressivement des cycles de mise en eau et d’assèchement plus proches des variations naturelles, avec des submersions hivernales et des assèchements estivaux.
Sur la pointe de Beauduc, les sternes naines se sont installées durant 3 printemps consécutifs dans l’enclos de protection. Ce résultat est d’autant plus encourageant qu’aucune reproduction n’avait été constatée sur ce secteur durant les 8 ans précédant la mise en place de l’enclos, cependant, entre 2013 et 2015 les effectifs recensés et le succès de reproduction demeurent faibles.
Au printemps 2015, l’îlot construit pour les petits charadriiformes a vu s’installer une colonie comprenant 380 couples nicheurs de 7 espèces différentes, dont les rares goélands railleurs et sternes hansels. De tels effectifs n’avaient plus été observés sur le site depuis 12 ans. Au printemps 2016, cet îlot a de nouveau accueilli une colonie comprenant notamment 240 couples de sternes hansels.
En 2015, les aménagements hydrauliques ont permis de maintenir un niveau d’eau suffisant pour la protection de la colonie de flamants roses, dont les effectifs ont atteint plus de 13000 couples nicheurs. En 2016, l’îlot nouvellement créé dans l’étang du Fangassier n’a accueilli qu’une petite partie de la colonie, la plus grande partie s’étant à nouveau installée sur l’ancien îlot. La reproduction a échoué en raison de la prédation et du dérangement par des renards sur l’ancien îlot ; d’autres facteurs de dérangement, tels qu’un survol aérien à basse altitude ou un survol par un drône, pourraient être en cause.
Les suivis de la macrofaune benthique et de la végétation aquatique montrent entre 2015 et 2016 une amélioration sensible de l’état écologique des étangs du Galabert et de Beauduc, avec une augmentation du recouvrement des herbiers de Ruppie spiralée dans ces deux étangs, l’augmentation de la présence d’algues Rhodophycées dans Beauduc, l’apparition de tellines (Tellina tenuis) et l’augmentation des densités de coques (Cerastoderma edule) dans le Galabert.
Sur les anciens partènements salicoles ciblés pour la restauration des sansouires et des végétations à salicornes annuelles, le recouvrement de ces habitats, estimé à 34 ha en 2011, atteignait 280 ha en 2015.
Ces résultats sont jusqu’ici encourageants, néanmoins la réussite des actions de restauration ne peut être évaluée sur les seules premières années. Des bilans à moyen et long termes seront nécessaires pour tirer des conclusions solides de ces travaux. Des ajustements visant à optimiser la gestion hydraulique et les aménagements pourront être envisagés, de même que la poursuite de travaux hydrauliques complémentaires à ceux entrepris dans le cadre du LIFE+ MC-SALT.
Plus de résultats sont disponibles dans le rapport d’activités EMSC 2015 et d’autres seront à venir lors des prochains suivis programmés pour les années à venir, notamment pour les suivis environnementaux et hydrauliques.
Parmi les perspectives suite à ces travaux, une réflexion est engagée autour des impacts potentiels des eaux d'irrigation et de drainage agricoles sur la flore et la faune du site. Un partenariat avec le WWF-France a été lancé autour de deux actions : (1) la sensibilisation des agriculteurs pour promouvoir des pratiques minimisant l'apport de pesticides et (2) l'acquisition de données pour quantifier la qualité de l'eau et des sédiments dans les canaux d'eau douce et divers étangs du site. Ces données visent à procurer une cartographie des polluants du site, pouvant mener à des préconisations de gestion. Afin d’évaluer l’efficacité de la reconnection hydraulique entre les anciens salins et l’hydrosystème Vaccarès, il est également prévu un suivi des peuplements piscicoles à partir de l’automne 2016.
Le projet de restauration des anciens salins a aussi pour vocation d’apporter une contribution à la revitalisation du village de Salin-de-Giraud. Ainsi, les habitants, le Conservatoire du littoral et les gestionnaires du site ont lancé, dans le cadre d’un projet soutenu par la Fondation de France, une démarche participative autour du « tourisme respectueux » visant à proposer de nouvelles offres de découverte du site aux touristes (parcours VTT et équestre) adaptées aux objectifs de restauration écologique et aux contraintes d’accessibilité.
A terme, il est prévu de développer et diversifier les offres d’accueil du public. Un projet de sauvegarde du château de Tourvieille, ancienne tour de défense du XVIIe siècle inscrite aux Monuments historiques, aura pour but de marquer l’entrée du site des étangs et marais des salins de Camargue et pourrait se munir d’un belvédère qui offrira une vision panoramique sur ces espaces camarguais.
La valorisation de l'opération
Une lettre d’information du projet LIFE MC-SALT a été publiée en 2012 et une autre est en préparation pour diffusion fin 2016. Un article sur le projet LIFE MC-SALT a été publié dans la lettre d’information « Natura 2000 dans le delta du Rhône » n°4 (janvier-février 2015) et une affiche sur la biodiversité des aires marines protégées de Camargue (et notamment sur la zone de protection de biotope de la pointe de Beauduc) a été éditée en juin 2015 dans le cadre des LIFE MC-SALT et LIFE ENVOLL. Il s’agit de la reproduction d’une aquarelle de Cyril Girard.
Sur l’étang du Fangassier, des visites guidées organisées par le Bureau des guides naturalistes sont proposées dans le but de développer et diversifier l’information et les échanges avec le grand public.
Le PNR de Camargue a reçu le Prix Pôle-relais lagunes méditerranéennes 2015 consacré à l’adaptation aux changements climatiques, pour sa coordination de la gestion adaptative sur les étangs et marais des salins de Camargue. David Grzyb, Président du PNRC s'est vu décerner ce prix par Laurent Roy, directeur général de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse, à l'occasion du festival « Refaisons le climat » à Montpellier en septembre 2015. Les partenaires ont été invités à valoriser leur initiative exemplaire et innovante en décembre 2015 dans le cadre de Paris Climat 2015 lors de la COP 21



Coûts
921716 TTC
Coût des études | 137882 |
Coût des acquisitions |
Non renseigné |
Coût des travaux et aménagement |
456545
soit, le coût à l'hectare : Non renseigné |
Coût de la valorisation | 293782 |
Coût total de l’opération | 888209 |
Partenaires et maître d'ouvrage
Partenaires financiers et financements | - Région Provence-Alpes-Côte d’Azur - Europe - Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse - Ministère en charge de l’Ecologie - Conservatoire du littoral |
Partenaires techniques du projet | - Amis des marais du Vigueirat |
Maître d'ouvrage | Parc naturel régional de Camargue / Tour du Valat
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Contacts | Gaël Hemery / Marc Thibault |
g.hemery@parc-camargue.fr |
Référence(s) bibliographique(s)
Parc naturel régional de Camargue, Tour du Valat, Société nationale de protection de la nature (2016). Rapport d’activités 2015 : Site des étangs et marais des salins de Camargue. 174 + annexes. http://85.31.222.100/alexandrie-7/dyn/portal/index.seam?aloId=6844&page=alo&cid=351
G. Cavaillès (2014). Plan d’action opérationnel de restauration des habitats côtiers des sites des Etangs et marais des salins de Camargue – secteur des anciens salins. Mémoire de stage de Master SupAgro. Université de Montpellier, Tour du Valat, 176.
Conservatoire du littoral (2016). Plan de gestion du Conservatoire du littoral : Site des étangs et marais des salins de Camargue. 8p.
http://85.31.222.100/alexandrie-7/dyn/portal/index.seam?page=alo&aloId=6776&cid=286
Parc Naturel Régional de Camargue (2012-2017). Contrats de delta Camargue : état des lieux et diagnostic/ résumé/dossier définitif/ document contractuel / Fiches actions.
http://www.parc-camargue.fr/index.php?pagendx=356&search_kw=218
Parc Naturel Régional de Camargue (2016). La lettre du Parc Naturel Régional Visage de Camargue – Etangs et marais des salins de Camargue. PNRC : 4.
http://www.parc-camargue.fr/newsletter/Lettre_bimensuelle.pdf
Parc Naturel Régional de Camargue (2012). Lettre d’information n°1 LIFE+MC-Salt en Camargue. Parc naturel régional de Camargue : 4.
http://www.pole-lagunes.org/sites/default/files/Lettre_life_salt_1_Sept_oct_2012.pdf
Tour du Valat (2014). Lettre d’information n°17 - Actu 3 : Avancées du projet LIFE+ MC-SALT sur les Étangs et marais des salins de Camargue. Tour du Valat.
http://www.tourduvalat.org/fr/newsletter/actu_3_avancees_du_projet_life_mc_salt_sur_les_etangs_et_marais_des_salins_de_camargue
PNR de Camargue (janv-fev 2015). Lettre d’information n°4. Natura 2000 dans le delta du Rhône – actualités des programmes LIFE+ en Camargue en page 8. PNR de Camargue.
http://www.parc-camargue.fr/getlibrarypublicfile.php/42bf668ae85a5e968334bfca75e705fd/parc-camargue/_/collection_library_fr/201500001/0001/Natura_2000_janvier_fevrier_2015.pdf
http://www.parc-camargue.fr/getlibrarypublicfile.php/42bf668ae85a5e968334bfca75e705fd/parc-camargue/_/collection_library_fr/201500001/0001/Natura_2000_janvier_fevrier_2015.pdf
Parc naturel régional de Camargue, Tour du Valat, Société nationale de protection de la nature (2013). Notice de gestion (2013-2016) Site des étangs et marais des salins de Camargue. Rapport pour le Conservatoire du littoral, 153 + annexes.
http://www.pole-lagunes.org/ftp/web/2015/NoticegestionEMSC2013-2016.pdf
Les Echos - Article de presse « En Camargue, un programme sans précédent pour rétablir le système hydrographique naturel » par Paul Molga, le 30 août 2016.
http://www.lesechos.fr/paris-climat-2015/actualites/0211120458155-en-camargue-un-programme-sans-precedent-pour-retablir-le-systeme-hydrographique-naturel-2023501.php