Arasement du seuil de Sainte-Marie sur la Roanne
Page mise à jour le 19/02/2018
Créée le 01/06/2010
Créée le 01/06/2010
L'opération
Catégories | Restauration et réhabilitation |
Type d'opération |
Effacement total ou partiel d'obstacles transversaux |
Type de milieux concerné | Cours d'eau de zone intermédiaire |
Enjeux (eau, biodiversité, climat) |
Bon état des habitats Continuité écologique |
Début des travaux Fin des travaux |
juillet 2009 septembre 2009 |
Linéaire concerné par les travaux | 150 m |
Cours d'eau dans la partie restaurée
Nom | La Roanne |
Distance à la source | 19.00 km |
Largeur moyenne à pleins bords avant travaux |
15.00 m
|
Largeur moyenne à pleins bords après travaux |
Non renseigné |
Pente moyenne | 10.00 ‰ |
Débit moyen | 1.27 m3/s |
Contexte réglementaire |
Non concerné |
Autres | Cours d’eau classé |
Loi |
Non concerné |
Références au titre des directives européennes
Référence de la Masse d'eau |
FRFR88 |
Référence du site Natura 2000 |
Non concerné |
Code ROE |
Non renseigné |
Localisation
Pays | France |
Bassins |
Adour-Garonne |
Région(s) |
LIMOUSIN |
Département(s) |
CORREZE (19) |
Communes(s) |
DAMPNIAT (19068) |
Région | NOUVELLE-AQUITAINE |
Les objectifs du maître d'ouvrage
<p style="text-align: justify;">Rétablir la continuité écologique sur la Roanne et permettre l’accès aux frayères des poissons remontant la Corrèze (saumon atlantique et truite fario notamment).</p>
Le milieu et les pressions
<p style="text-align: justify;">La Roanne est un affluent de la Corrèze de 21 kilomètres de long. Son bassin versant de 105 km2 est essentiellement forestier. Ce cours d’eau classé au L.432-6 pour la préservation de la continuité écologique accueille le saumon de l’atlantique et la truite fario.<br>Au niveau de la commune de Dampniat, un seuil d’une hauteur de 1,90 m engendre une retenue d’environ 150 m. Une route départementale surplombe le cours d’eau en rive droite et des habitations sont construites à l’aval immédiat du seuil. La rive gauche est majoritairement occupée par une ripisylve assez dense.<br>Cet ouvrage est situé au tout début de l’axe de migration de la Roanne, à deux kilomètres seulement de la confluence. Il constitue un véritable verrou qui bloque la remontée des poissons migrateurs, d’autant que les ouvrages situés plus en amont ont déjà fait l’objet d’aménagements.</p>
Les opportunités d'intervention
<p style="text-align: justify;">Classé au titre de l’article L.432-6 du Code de l’environnement et faisant partie de l’axe bleu du SDAGE Adour - Garonne, la Roanne devait être mise en conformité avec la règlementation. Informé par l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema) de leurs devoirs, les neufs copropriétaires du seuil se sont vus dans l’obligation de mettre en conformité leur ouvrage. Le seuil, au moment des travaux, n’a plus d’usage économique, l’arasement constitue donc la solution la plus simple et la plus efficace.</p>
Les travaux et aménagements
<p style="text-align: justify;">Le seuil est arasé. Un point dur est conservé pour éviter une éventuelle déstabilisation du talus soutenant la route et les maisons en rive droite. La fosse d’affouillement en aval du seuil est comblée par des blocs disposés de manière cintrée afin de garantir une lame d’eau suffisante à l’étiage. Le mur de soutènement des berges en rive gauche ainsi que ses fondations sont démolis.<br>Afin de retrouver la largeur moyenne naturelle du cours d’eau, la berge en rive gauche est aménagée. Un caisson végétalisé est réalisé sur la partie amont. En aval, la berge est retalutée et confortée par des techniques végétales. En rive droite, des enrochements sur environ 45 m de long sont installés pour protéger le talus qui soutient la route. Les sédiments organiques les plus fins accumulés en amont du seuil sont curés, le reste des matériaux restant mobilisables par le cours d’eau. Une pêche de sauvetage est réalisée avant les travaux.</p>
La démarche réglementaire
Nomenclatures s'appliquant sur le site :
3.1.2.0 (D) Modification du profil en long ou le profil en travers du lit mineur d’un cours d’eau ou dérivation d’un cours d’eau
3.1.4.0 (D) Consolidation ou protection des berges
La gestion
<p style="text-align: justify;">Aucune mesure de gestion particulière n’a été prise.</p>
Le suivi
<p style="text-align: justify;">Un état initial portant sur l’étude des profils en long et en travers du cours d’eau est réalisé par un bureau d’étude. Des études géotechniques en amont du seuil et des modélisations hydrauliques sont aussi entreprises. Aucun suivi post-travaux n’est prévu.</p>
Le bilan et les perspectives
<p style="text-align: justify;">Cette opération permet le rétablissement de la continuité écologique. Plusieurs dizaines de kilomètres de frayères potentielles de grands salmonidés sont réouvertes. Déchargés des obligations d’entretien et en conformité avec la règlementation, les propriétaires sont satisfaits de l’opération.</p>
La valorisation de l'opération
<p style="text-align: justify;">Rédactions d’articles dans la presse.</p>
Coûts
Coût des études préalables | 13 000 € HT |
Coût des acquisitions | Non renseigné |
Coût des travaux et aménagement |
99 600 € HT
soit, au mètre linéaire : Non renseigné |
Coût de la valorisation | Non renseigné |
Coût du suivi | Non renseigné |
Coût total de l’opération | 118 000 € HT |
Témoignage
Existence d'un témoignage | |
Témoignage | Non renseigné |
Partenaires et maître d'ouvrage
Partenaires financiers et financements | - Agence de l’eau (32 %) - conseil régional (20 %) - conseil général (20 %) - État (18 %) - copropriétaires (10 %) |
Partenaires techniques du projet | - Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema) - service départemental - conseil général - agence de l’eau - direction départementale de l’agriculture et de la forêt |
Maître d'ouvrage |
Neuf copropriétaires du seuil
|
Contacts | Onema, service départemental de la Corrèze |
sd19@onema.fr |
Maître d'ouvrage | |
Contacts |
|
Référence(s) bibliographique(s)
Non renseigné
Pose de clôtures sur la tourbière de la Ferrière
Page mise à jour le 19/10/2017
Créée le 03/03/2010
Créée le 03/03/2010
L'opération
Type d'ingénierie écologique | Préservation et gestion |
Type de génie écologique |
Non renseigné |
Enjeux (eau, biodiversité, climat) | Bon état des habitats Conservation d’espèces patrimoniales |
Début des travaux Fin des travaux |
|
Surface concernée par les travaux | 40.00 ha |
La zone humide dans la partie restaurée
Type de milieu (Ramsar) | Non renseigné |
Type de milieu (SDAGE) | Non renseigné |
Type hydrogéomorphologique | Non renseigné |
Contexte réglementaire |
Non concerné |
Autres |
Non concerné |
Loi |
Loi montagne |
Références au titre des directives européennes
Rattachement à une Masse d'eau |
Non concerné |
Référence du site Natura 2000 |
FR7401123
FR7412003
|
Localisation
Pays | France |
Bassins |
Adour-Garonne |
Région(s) |
LIMOUSIN |
Département(s) |
CORREZE (19) |
Communes(s) |
DAVIGNAC (19071) |
Les objectifs du maître d'ouvrage
<p>Création de clôture permettant la mise en place de pâturage bovin à vocation conservatoire.</p>
Le milieu et les pressions
<p>Le site, entièrement en zone humide, a une superficie de 100 ha. Il comprend des milieux tourbeux et prairies humides. Anciennement drainé, puis restauré, il est le cadre d'activités agricoles (pâturage bovin) et forestières.</p>
Les opportunités d'intervention
<p>Le CREN Limousin a 40 ha en gestion (bail et conventions publiques (ONF) et privées) ; Natura 2000 a permis de financer les travaux d'aménagement pastoral.</p>
Les travaux et aménagements
<p style="text-align: justify;">- la végétation a été éliminée (lande tourbeuse, bourdaine) sur 4 à 5 mètres de large (emprise importante facilitant l'entretien par la suite) par bûcheronnage, élagage et/ou débroussaillage. Un gyrobroyeur a été monté à l’arrière d’un tracteur avec roues jumelées à l’avant et roues-cages à l’arrière.</p><p style="text-align: justify;">- les rémanents ont été déposés à l’extérieur du site, le bois valorisable mis en bord de site.</p><p style="text-align: justify;">- Les piquets sont en châtaigner écorcé. Ceux de coin ont 2m50 de long, 20cm de diamètre, et sont enfoncés à 60-80 cm de profondeur. Lorsque le sol est trop meuble, des jambes de force ont été ajoutées. Les piquets entre les coins ont 1m80 de long et 12-14 cm de diamètre. Lorsque le sol est trop humide et trop meuble, des piquets de 2m20 ont été retenus et enfoncés plus profondément. Le travail s'est fait avec un enfonce-pieu sur tracteur avec roues jumelées et roues-cages. Lorsque le sol n’était pas assez portant, les piquets ont été enfoncés à la main.</p><p style="text-align: justify;">- La pose des fils (barbelés sur 3 rangs pour permettre le passage du gibier) a été effectuée à la main (déroulage et pose).</p><p style="text-align: justify;">Le parc ainsi mis en place fait 20 ha (2300 m linéaires de clôture).</p>
La démarche réglementaire
Non renseigné
La gestion
<p>Entretien sous la clôture tous les 2 ans avec débroussailleuse ou tracteur et épareuse (d’où la nécessité d’avoir une emprise large). Durée de vie d’une clôture si elle est bien entretenue : 10-15 ans</p>
Le suivi
<p>Aucun.</p>
Le bilan et les perspectives
<p style="text-align: justify;">Il faut prévoir le moyen de franchir le cours d’eau en début de chantier pour éviter d’abimer les berges et de s’embourber, comme ce fut le cas sur ce chantier. Deux piquets ont été posés en travers du cours d’eau en cours de chantier pour faire passer le tracteur. Si le passage est temporaire pour la durée du chantier, deux piquets suffisent. Si le passage doit être permanent et également utilisé par des animaux, il vaut mieux installer un passage plus approprié.</p><p style="text-align: justify;">Les éléments aussi importants à prendre en considération sont :</p><p style="text-align: justify;">- de choisir la période la plus sèche de l’année pour faire les travaux</p><p style="text-align: justify;">- de faire le bûcheronnage avant la pose de la clôture !</p><p style="text-align: justify;">Un point important est d’avoir de bons piquets de coin, bien solides : 20 cm de diamètre et mettre une jambe de force si nécessaire.</p>
La valorisation de l'opération
<p>Aucune.</p>
Coûts
<p>Travaux effectués en interne par l'équipe technique du CREN Limousin (2 à 4 personnes) sur 58 jours (journées de 8 heures). 3600 € d'achat de matériel (piquets, barbelés, crampillons).</p>
Coût des études |
Non renseigné |
Coût des acquisitions |
Non renseigné |
Coût des travaux et aménagement |
19700
soit, le coût à l'hectare : Non renseigné |
Coût de la valorisation | Non renseigné |
Coût total de l’opération | 19700 |
Partenaires et maître d'ouvrage
Partenaires financiers et financements | - Etat - Union Européenne |
Partenaires techniques du projet |
Maître d'ouvrage | CREN Limousin
![]() |
Contacts | Erwan Hennequin |
6 Ruelle du Theil
87510 SAINT-GENCE
ehennequin@conservatoirelimousin.com |
Référence(s) bibliographique(s)
Non renseigné
Arasement d’un seuil sur la Corrèze au sein de l’agglomération de Tulle
Page mise à jour le 19/02/2018
Créée le 28/01/2010
Créée le 28/01/2010
L'opération
Catégories | Restauration et réhabilitation |
Type d'opération |
Effacement total ou partiel d'obstacles transversaux |
Type de milieux concerné | Cours d'eau de zone intermédiaire |
Enjeux (eau, biodiversité, climat) |
Continuité écologique |
Début des travaux Fin des travaux |
mai 2008 août 2009 |
Linéaire concerné par les travaux | 600 m |
Cours d'eau dans la partie restaurée
Nom | La Corrèze |
Distance à la source | 57.00 km |
Largeur moyenne à pleins bords avant travaux |
25.00 m
|
Largeur moyenne à pleins bords après travaux |
Non renseigné |
Pente moyenne | 3.00 ‰ |
Débit moyen | 10.00 m3/s |
Contexte réglementaire |
Non concerné |
Autres | Cours d'eau classé |
Loi |
Non concerné |
Références au titre des directives européennes
Référence de la Masse d'eau |
FRFR324A |
Référence du site Natura 2000 |
Non concerné |
Code ROE |
Non renseigné |
Localisation
Pays | France |
Bassins |
Adour-Garonne |
Région(s) |
LIMOUSIN |
Département(s) |
CORREZE (19) |
Communes(s) |
TULLE (19272) |
Région | OCCITANIE |
Les objectifs du maître d'ouvrage
<p style="text-align: justify;">Libre circulation des canoës-kayaks sur ce tronçon</p>
<p style="text-align: justify;">Recolonisation de la truite et du saumon à l’amont de la ville de Tulle</p>
<p style="text-align: justify;">Retour à un profil en long proche des conditions existantes avant perturbations</p>
Le milieu et les pressions
<p>La Corrèze prend sa source à Bonnefond, sur le plateau de Millevaches dans le Limousin. Elle se jette dans la Vézère quelques kilomètres à l'ouest de Brive-la-Gaillarde après un parcours de 95 kilomètres. La Corrèze est fréquentée par deux espèces emblématiques : la truite fario et le saumon atlantique. Au sein de la ville de Tulle, la présence de cinq seuils fait obstacle à la continuité écologique, notamment piscicole, et empêche la progression des canoës kayaks. Le plus important d’entre eux présente une hauteur de chute de 3 mètres et la retenue générée en amont s’étend de 600 à 850 mètres selon les débits observés. C’est ce seuil qui est concerné par l’effacement.</p>
Les opportunités d'intervention
<p>C’est un projet d’aménagement de seuils pour améliorer le franchissement des canoës-Kayaks, porté par la communauté de communes Tulle et Cœur de Corrèze dans le cadre de la mise en valeur touristique de la Corrèze qui a été l’élément déclencheur. Mais la vétusté et l’absence d’usage économique du seuil, les problèmes de sécurité publique que cela engendrait ainsi que les problèmes de circulation piscicole, malgré la présence d’une passe à poissons depuis 1995, ont confortés cette prise de décision.</p>
Les travaux et aménagements
<p style="text-align: justify;">L’étude globale menée sur 4 seuils a révélé : Le seuil situé le plus en amont, est un seuil mobile, abaissé en période de hautes eaux et possédant un dispositif de franchissement piscicole. Son aménagement n’est pas prioritaire et il fera l’objet d’un réaménagement pour les canoës dans un deuxième temps. Les deux seuils situés au milieu du parcours ne posent pas de problème de franchissement par les canoës ni de rupture de la continuité écologique car ils disposent déjà d’aménagements. Seul le seuil situé en aval est problématique. Ainsi ce seuil a été partiellement arasé afin de maintenir une chute résiduelle de 30 cm permettant de garantir la stabilité du profil en long. Cette chute est franchissable par les poissons et les canoës. En aval du seuil, un tapis d'enrochements sur 40 m de long a été réalisé pour rehausser la côte du plan d'eau aval et pour éviter les phénomènes d’érosion régressive. Cette rampe est cintrée pour concentrer les écoulements et faciliter le passage de la faune piscicole à l’étiage. Les berges ont été protégées par la pose d’un géotextile végétalisé sur 600 m en amont du seuil et en intrados de méandre. En extrados de méandre, des épis déflecteurs en enrochement, intercalés avec des sous-couches de remblais composés de sédiments grossiers extraits dans la retenue, ont été mis en place pour conforter le mur de soutènement de la route existant et pour recentrer les écoulements.</p>
La démarche réglementaire
Nomenclatures s'appliquant sur le site :
3.1.2.0 (A) Modification du profil en long ou le profil en travers du lit mineur d’un cours d’eau ou dérivation d’un cours d’eau
3.1.5.0 (A) Destruction de frayère
3.2.1.0 (A) Entretien de cours d'eau
La gestion
<p>Aucune mesure de gestion particulière n’a été prise.</p>
Le suivi
<p style="text-align: justify;">Un état initial portant sur le compartiment physique et l’analyse des sédiments a été réalisé par un bureau d’étude en 2005. Les mesures réalisées concernent : - la stabilité des berges et de la végétation en place - un profil en long sur 7 km de la ligne d'eau en étiage et du fond - 26 profils en travers - des observations et mesures topographiques - une évaluation des volumes sédimentaires stockés et de la granulométrie moyenne avec recherche de 8 métaux lourds - des relevés hydroécologiques et morphodynamiques - des modélisations hydrauliques La communauté de communes et la fédération départementale de la pêche ont entrepris un suivi post travaux sur un secteur en amont (à 800 mètres) et en aval (à 600 mètres) du seuil. Trois compartiments sont suivis : l’hydromorphologie, la végétation et les poissons. L’évaluation de l’évolution du fond du lit - substrat, granulométrie, hauteurs d'eau, vitesses - a été réalisée jusqu'au dernier seuil (levés topographiques et micromoulinet). Un suivi de la stabilité des berges et de la végétation plantée a également été mis en place. Enfin, un comptage des frayères sur environ 1200 m et un sondage du peuplement piscicole par pêche à l’électricité ont été réalisés. Les suivis sont prévus sur une durée de 3 ans.</p>
Le bilan et les perspectives
<p style="text-align: justify;">Pour répondre à l’ensemble des objectifs, la meilleure solution consistait bien à araser le seuil. Les aménagements complémentaires qui ont été réalisés ont été nécessaires du fait du maintien de la route et de la zone d’activité située de part et d’autre du cours d’eau. Ceci étant, les travaux sont encore trop récents pour conclure quant aux effets bénéfiques de l’opération sur le cours d’eau. Les suivis permettront de comprendre l’évolution du lit du cours d’eau. Concernant les populations de poissons, aucun résultat n’est disponible pour l’instant mais l’ouverture des frayères laisse présager une recolonisation rapide des populations de salmonidés. L’opération est un succès pour l’activité canoë-kayak puisque qu’elle disposera, une fois l’ensemble des aménagements réalisés, d’un parcours de 18,5 kilomètres de long. La satisfaction des élus, des usagers et des riverains est majoritairement présente. Preuve de cette satisfaction, la collectivité vient de prendre la décision d’araser un deuxième seuil. Cette opération a permis de déclencher une réflexion globale sur le transport solide dans la traversée de Tulle. Des aménagements seraient donc à envisager sur les 3 seuils restants. Afin de mieux comprendre les processus de transport sédimentaire, il a été décidé, avant d’entreprendre des aménagements, d’observer le comportement du cours d’eau suite à l’arasement du premier seuil.</p>
La valorisation de l'opération
<p style="text-align: justify;">Rédaction d’articles dans les journaux locaux (lettre des rivières de Poitou-Charentes et Limousin, revue de l’agence de l’eau Adour-Garonne, revue Hydroplus) et projet de création d’un DVD par le conseil général.</p>

Coûts
Coût des études préalables | Non renseigné |
Coût des acquisitions | Non renseigné |
Coût des travaux et aménagement |
293 000 € HT
soit, au mètre linéaire : 488 |
Coût de la valorisation | Non renseigné |
Coût du suivi | Non renseigné |
Coût total de l’opération | 293 000 € HT |
Témoignage
Existence d'un témoignage | |
Témoignage | Non renseigné |
Partenaires et maître d'ouvrage
Partenaires financiers et financements | - agence de l'eau (30%) - FEDER (26%) - communauté de communes Tulle et Cœur de Corrèze (20%) - conseil régional (14%) - conseil général (10%) |
Partenaires techniques du projet | - Communauté de communes Tulle et Cœur de Corrèze - club de canoës kayaks - conseil général - Onema délégation interrégionale Massif-Central - direction départementale de l’agriculture et de la forêt - agence de l'eau |
Maître d'ouvrage |
Communauté de communes Tulle et Cœur de Corrèze
|
Contacts | Anne Chollet |
4 rue du 9 juin 1944
19000 TULLE
anne.chollet@cc-tullecorreze.fr |
Maître d'ouvrage | |
Contacts |
|
Référence(s) bibliographique(s)
Non renseigné